Plaisance : un nouveau réseau social pour les navigateurs
Un nazairien vient d’ouvrir une nouvelle plateforme, véritable réseau social exclusivement tourné vers le nautisme et la mer pour les plaisanciers et les professionnels.
Un nazairien vient d’ouvrir une nouvelle plateforme, véritable réseau social exclusivement tourné vers le nautisme et la mer pour les plaisanciers et les professionnels.
Ce jeudi 07 mai, la Préfecture Maritime de Méditerranée a, dans un nouvel arrêté préfectoral, émis de nouvelles règles concernant la navigation maritime. En voici le résumé :
Il arrive de passer sous la dizaine de clics pour réserver sa prochaine croisière ou une simple sortie en mer lors d’un week-end.
Les modes se font et se défont mais pour la location de navires en ligne, le nombre d’adeptes continue de grimper en flèche. Ils naviguent depuis les côtes françaises mais aussi en Grèce, en Croatie, en Italie, en Espagne et à l’autre bout du monde. Si bien qu’il devient maintenant très intéressant de brosser un petit portrait du nouveau plaisancier, celui pour qui internet est une première navigation avant la véritable expérience nautique.
Mardi 12 mars 2019 s’est tenu au port Vauban pour la deuxième année consécutive le Forum des Métiers Embarqués organisé par Pôle Emploi dans le cadre de la Semaine de l’Emploi Maritime.
34 stands étaient tenus par des sociétés de recrutement d’équipage, des organismes de formation et de mise à niveau des qualifications professionnelles, des groupements d’équipages professionnels et par des capitaines indépendants à la recherche de personnel qualifié.
Avec la démocratisation des drones aériens, la réglementation a vite soumis les propriétaires et utilisateurs à des règles d’usage pour ne pas atteindre à la vie privée des individus ou entraver la circulation aérienne.
Qu’il s’agisse de drones aériens professionnels ou de loisir, il faut être enregistré, avoir suivi une formation obligatoire, les lieux de survol sont limités pour les personnes privées, il faut obtenir une autorisation de l’agglomération pour les professionnels qui souhaitent survoler un espace aérien, il y a des zones interdites, une hauteur de vol au delà de laquelle il est interdit de voler, etc.
Qu’en est-il des drones sous-marin, qui se démocratisent de plus en plus à leur tour ? Ils n’évoluent pas dans le même élément et ne sont pas nécessairement sujets à des polémiques similaires que les aériens.
C’est la question qu’a posé Mme Sophie PANONACLE, députée LREM de Gironde à la Ministre du Travail le 12 février dernier. La nécessité de doter Pôle Emploi d’une division maritime se fait sentir vu les besoins grandissants de industries de l’économie bleue.
Texte de la question :
Pôle Emploi comprend de plus en plus le potentiel du maritime en France, que ce soit au commerce ou en plaisance, dans le yachting ou dans le nautisme, en mer comme à terre.
En 2017 par exemple, ayant constaté que le milieu maritime a réalisé 185 100 embauches sur les régions côtières, et avec l’aide de nombreux acteurs (la F.I.N, le SG Mer, le Cluster Maritime, etc), Pôle Emploi propose des formations et accompagnements dans les métiers de la mer mal connus des français, pour valoriser et faciliter les recrutements : visites d’entreprises, forums de recrutement, découverte des métiers, colloque professionnel.
Du 11 au 16 mars 2019 aura lieu la 4ème édition de la Semaine de l’Emploi Maritime, parrainée par Hervé Guillou PDG de Naval Group, Président du GICAN (Groupement des Industries de Construction et Activités Navales) et du Comité Stratégique de Filière des Industries de la Mer.
Même si un voilier possède un moteur, il reste un navire à voile et ne nécessite pas de permis plaisance pour le piloter car la voilure constitue le mode de propulsion principal, et le moteur est considéré comme auxiliaire.
Un décret de 2007 précise tout de même que la délivrance du permis plaisance est nécessaire lorsque la puissance motrice dépasse les 4,5kW soit 6 chevaux. Ainsi, si un moteur de voilier dépasse cette puissance motrice, le permis sera obligatoire pour le naviguer.
Mais pourquoi la loi autorise-t-elle l’accès et l’usage d’un navire à voile et ne subordonne pas cela à l’obtention d’un permis de plaisance, alors que l’on pourrait croire aisément que cette non-obligation prive les utilisateurs d’un navire à voile de la possibilité de bénéficier des formations adéquates comme les règles élémentaires de la navigation et de la sécurité en mer ?
Chaque année, trois plaisanciers sur quatre optent pour l’achat d’un navire d’occasion. Cette pratique, qui ne manque pas d’intérêt, doit tout de même être faite de manière à éviter au maximum les mauvaises surprises.
Malgré l’intéressante opération financière qu’est l’achat d’occasion, celle-ci permet également d’accéder à des produits inaccessibles jusqu’alors.
Quelles sont les bonnes questions à se poser ? Tant d’un point de vu matériel qu’administratif, cet article expose les fondamentaux de ce qui doit être vérifié avant l’achat.
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