Navigation : que risque-t-on en cas de non-respect d’un arrêté PRÉMAR ?

Crédit : Gendarmerie Maritime de Méditerranée

La crise sanitaire liée au COVID-19 a été l’occasion pour les Préfectures Maritimes de porter temporairement atteinte aux libertés de navigation des marins et plaisanciers.

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2 commentaires

  1. Bizarre quand même votre publication, car l’article L5242-2 du Code des transports ne mentionne pas du tout les mêmes peines (six mois d’emprisonnement et de 3 750 € d’amende). Ou trouvez-vous les un an de prison et 150000 euros d’amende ?

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