Union européenne

Le ministère français des affaires étrangères a annoncé en janvier 2020 avoir créé une nouvelle mission de surveillance maritime dans le Golfe et le détroit d’Ormuz en partenariat avec plusieurs pays de l’Union Européenne suite à l’augmentation de l’insécurité et de l’instabilité croissante en 2019 dans cette région du globe.

Cette mission, baptisée EMASOH (pour European-led Maritime Awareness mission in the Strait Of Hormuz) débutera fin janvier aura pour objet de garantir la liberté de navigation dans le golfe Arabo-Persique tout en protégeant les intérêts économiques européens et internationaux. Elle ne vise aucun État particulier, mais cherche à assurer la stabilité de la région.

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Le 04 janvier 2018, un arrêté ministériel (du 28 décembre 2017) a été publié au Journal Officiel, portant création d’un traitement de données à caractère personnel relatif à la traçabilité des produits de la mer et de l’aquaculture par le système d’information dénommé SALTO : Système automatisé en ligne de traçabilité pour les opérateurs de la pêche et de l’aquaculture.

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S’agissant des enjeux maritimes, l’Union européenne n’avait jusqu’ici adopté que des actes spécifiques répondant de manière ciblée à des problématiques environnementales, énergétiques ou liés au développement régional.
On ne peut que se réjouir de voir aujourd’hui l’Union européenne se saisir des enjeux maritimes. Mais cette prise en compte a été trop longtemps restreinte à quelques domaines d’action particuliers et a souffert d’un manque de visibilité à long terme.

En parallèle, le développement des activités maritimes s’est accéléré :

– accroissement du commerce maritime,
– recours au ressources sous-marines (pétrole, minerais),
– utilisation des ressources halieutiques pour répondre au défi alimentaire,
– développement de systèmes de production d’énergie renouvelable off-shore,
– mise en place de câbles sous-marins intercontinentaux,
– développement économiques des zones côtières et de leurs infrastructures
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D’après les chiffres du Bureau Maritime International (BMI), l’activité des pirates somaliens a atteint son plus bas niveau en 2013. Et c’est dans le golfe de Guinée qu’auront été constatés le plus grand nombre d’incidents – du moins pour ce qui concerne uniquement le continent africain – l’année passée (et l’on en saura davantage quand le rapport final sera publié).

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