Yachting : une formation à la réglementation douanière maritime

L’École Nationale des Scaphandriers accueille une session de formation à la réglementation douanière maritime qui se tiendra fin novembre 2022.
Continuer la lectureL’École Nationale des Scaphandriers accueille une session de formation à la réglementation douanière maritime qui se tiendra fin novembre 2022.
Continuer la lectureUn nouveau concept a été pensé pour contourner l’interdiction des ancrages excessifs et diminuer l’impact des navires et des activités maritimes sur l’environnement et les fonds marins. La société à l’origine de cette solution : Seafloatech.
Elle a imaginé une structure d’amarrage de surface modulaire conçue pour être réversible, laissant peu d’impact sur le fond marin.
YachtNeeds est une société basée à Monaco créée en 2015 et spécialisée dans la conciergerie et le management des navires et équipages. Il s’agit principalement d’une application pour smartphone contenant un répertoire particulièrement complet à destination des capitaines et des équipages à la recherche de besoins en tous genres, permettant de localiser et contacter directement les professionnels de la base de données, soit plus de 26 000 fournisseurs de produits et services spécifiques aux yachts et superyachts. L’application recense plus de 25 000 marins inscrits à YachtNeeds pouvant chatter en direct ou même postuler aux emplois vacants à bord des navires.
Un port maritime est une infrastructure destinée à abriter les navires et peut remplir plusieurs fonctions comme le chargement et déchargement de marchandises, faciliter les opérations d’avitaillement, de ravitaillement, ou accueillir les embarcations pour un séjour dépendant de l’activité du navire.
Le cabotage maritime est un type de navigation qui consiste à se déplacer de port en port en restant à proximité des côtes (vient du mot capotage, se déplacer de cap en cap).
Caboter serait « acheter son beurre à Villefranche, son vinaigre à Nice, son huile et son lard à Toulon, ses fruits à Antibes et son vin à Saint-Tropez », pour reprendre l’observation faite par Fernand Braudel, Historien et membre de l’Académie Française, après l’examen des dépenses de bouche d’un caboteur de Raguse.
Aujourd’hui, ce terme est synonyme de transport maritime de courte distance (short sea shipping). Dans la définition européenne (établit par le Règlement CEE 3577/92 du 7 décembre 1992), il désigne un transport côtier reliant des ports des rivages de l’Europe et des pays adjacents (soit, notamment l’ensemble du bassin méditerranéen, y compris la Mer Noire).
La société BWA, compagnie de conciergerie maritime intervenant dans 275 ports au service de propriétaires de navire, clients en charter, capitaines et équipages, recrute pour la saison estivale 2019 :
Décidément, la Côte d’Azur est gâtée en cette fin de saison estivale 2018. Les navires les plus grands, les plus connus ou les plus insolites ont tiré des bords entre Monaco, Saint-Tropez et Cannes, parmi lesquels le voilier classique Manitou (ancienne propriété du Président J.F Kennedy sur lequel il séduit Marilyn Monroe), les navires A (voilier et Motor Yacht), le Maltese Falcon, l’Hermione en début de saison, le Quantum Blue, le Dilbar.
Et après plusieurs jours de relâche au port Vauban d’Antibes et au port de Cannes, le dernier trois-mâts barque français le Belem fera sa dernière escale azuréenne au port de Nice au mois d’octobre, avant de repartir du côté de Sète.
Un récent décret en date du 28 décembre 2017 et entré en vigueur en 2018 est venu déverrouiller l’usage professionnel de la mer, et prendre en compte les nouvelles activités (pas si nouvelles que cela) pour lesquelles des petits navires sont utilisés.
Ce décret propose désormais des brevets adaptés inférieurs au Capitaine 200, sécurise le cadre juridique de l’activité, et vient favorise le développement des activités côtières.
Ce décret est une révolution, et permet à présent à plusieurs centaines (voir quelques milliers) de « plaisanciers » de vivre légalement de leurs activités côtières jusqu’alors « sous-marine« , pour lesquelles elles ils prétendaient pour la plupart d’entre eux faire de la co-navigation pour cacher l’activité commerciale de charter, de whale watching, etc. Travail au noir, pas d’assurance en cas d’accident, pas de déclaration fiscale, pas de cotisation, et le risque de se faire arrêter par les autorités, il était nécessaire que la loi s’adapte aux usages.
Parce-qu’un port est une porte de sortie, mais avant tout une porte d’entrée sur un territoire, il n’existe pas d’économie maritime sans structure d’accueil. On a tendance à l’oublier, ou à ne pas s’en rendre compte, mais un port est l’un des principaux leviers économiques d’une façade maritime. Les fréquentations d’un port font de lui un vecteur d’emplois grâce à ses navires de plaisance et de commerce. Le tourisme représente une grande part de la croissance bleue, mais le yachting, la croisière, les ferrys et autres navires de commerce (cimentiers, cargos, rouliers, etc) sont autant d’activités qui génèrent d’importantes retombées.
Ainsi, on ne peut sonder les éléments de la croissance bleue sans structure portuaire, qui est à l’origine et l’aboutissement d’une activité maritime.
C’est la raison pour laquelle l’Observatoire Portuaire a été créé à l’initiative de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Nice Côte d’Azur, avec le soutien de la région PACA, du département des Alpes-Maritimes et de la métropole Nice Côte d’Azur.
Car en effet, de Monaco à Marseille (et en particulier sur le territoire des Alpes-Maritimes), les activités maritimes et touristiques sont telles qu’il était devenu indispensable de mesurer le poids de l’économie maritime, quelque soit l’échelle, pour mieux se rendre compte du potentiel du territoire et mieux orienter les investissements à effectuer.
L’agence Pôle Emploi de Mandelieu recherche urgemment pour la saison estivale 2017 :
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