Yachting : la procédure pour plonger avec un sous-marin privé

L’industrie du yachting est moteur d’innovation et de performance, mais cette quête devance parfois la réglementation qui tente de suivre le rythme de ce secteur qui repousse toujours plus les frontières de la conception navale.

En effet, les armateurs ne se contentent plus des fonctionnalités traditionnelles et exigent des caractéristiques inédites qui offrent une expérience de navigation exceptionnelle aux équipages et passagers.

Les demandes vont des technologies de pointe, telles que l’intelligence artificielle intégrée aux systèmes de navigation, à des aménagements intérieurs personnalisés et luxueux, en passant par des équipements de divertissement dernier cri et des méthodes de propulsion jusqu’alors réservées au monde industriel.

Cette course à l’innovation donne peu à peu naissance à des yachts inédits, comme ceux en cours de construction et équipés d’un moteur ou d’un générateur à hydrogène, équipés des systèmes de propulsion hybrides ou entièrement électriques, combinant ainsi performances et respect de l’environnement.

La réglementation française, bien que soucieuse de garantir la sécurité et la préservation de l’environnement, se trouve confrontée à un dilemme : comment assurer la liberté d’innovation tout en maintenant des normes de sécurité rigoureuses ?

C’est pour éviter cette problématique que l’Etat a rapidement encadré la navigation des sous-marins privés, jusque là assez rare pour les personnes privées.

Que dit la réglementation sur l’usage des sous-marins privés en mer territoriale ?

Au regard du développement des activités annexes au yachting, l’Etat a vite considéré l’importance de réglementer la navigation des navires sous-marins pour des motifs de sécurité et de sûreté de l’Etat.

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