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Plaisance / Yachting : le coronavirus et les contrôles sanitaires avant l’accès au port

Depuis la fin du déconfinement et la ré-ouverture des ports français, la navigation maritime a repris peu à peu de la vitesse.

De nombreux plaisanciers ont levé l’ancre à l’occasion de petites croisières et le yachting a repris des couleurs. Les ports méditerranéens ont un taux de remplissage relativement comparables aux années précédentes.

Certains navires à utilisation commerciale ont un emploi du temps très chargé en terme de charters, d’autres se positionnent dans les ports dans l’éventualité où le propriétaire souhaite s’y rendre en dernière minute. En tout état de cause, les navires naviguent, ce qui permet dans une moindre mesure d’amortir le choc redouté des professionnels du secteur.

Au mois de Février 2020, l’Organisation Mondiale de la Santé, l’Organisation Maritime Internationale, et par ruissellement la France, ont fait part de l’inquiétude sur le fait que les navires puissent être un vecteur élevé de diffusion de l’épidémie. Rapidement, de nombreuses autorités ont renforcé les contrôles d’accès aux ports, les considérant légitimement comme un lieu potentiel d’entrée de cas contaminés et de propagation du virus sur le sol français.

Bien que les réglementations internationales, européennes et françaises ont depuis longtemps prévu les modalités réglementaires sur les formalités administratives à respecter dans le cadre de contrôles sanitaires, certains capitaines et certains ports en ont pris connaissance qu’à l’occasion des événements actuels.

Depuis le mois de février, et de manière récurrente, les autorités sanitaires et préfectorales accompagnent les autorités portuaires pour les guider dans le cadre des contrôles auxquels elles sont astreintes.

Les documents exigés par les autorités portuaires avant de toucher un port :

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